Sans indiscrétion, où et quand ? Pour moi, après avoir fait un sondage maison, l'album est normalement là où le système de distribution lui permet d'être (càd pas partout hélas). Il est en province depuis la fin avril (voir aussi de précédents posts). Pour le réseau FNAC, c'est un peu particulier, en fonction des quotas admissibles en rayon, magasin par magasin (FNAC Bastille ne l'a pas ; manque de place) ; il est aussi chez un certain nombre d'entre eux, mais depuis le milieu de la semaine seulement, crois-je savoir.julietbravo a écrit :Bon, après quelques tentatives infructueuses, j'ai réussi à le trouver !
Donne-moi un exemple ? Que je dispose de "biscuits" pour te répondre concrètement.julietbravo a écrit :(...) mais un petit peu étrange ces monologues où les personnages disent ce qu'ils pensent (enfin, ils expliquent le cheminement de leur réflexion).
J'ai lu "Body recovery" dans un article consacré à ces opérations (des opérations françaises je précise, pour pas que tu croies que je me suis mélangé les pinceaux avec des opérations similaires mais effectuées par un pays anglosaxon, et en outre un article dans une revue spécialisée et très pointue) ; l'expression ne m'a pas choqué, j'ai même trouvé qu'elle sonnait mieux, et je l'ai reprise sans sourciller. Il va de soi que je n'aurais pas imaginé une telle expression si je ne l'avais pas lue quelque part.julietbravo a écrit :(...) j'ai l'impression d'une petite erreur : je pense que l'on parle de "Personal Recovery" (PR), et non de "Body recovery" pour décrire les missions d'extraction de personnel dans les lignes ennemies.
On peut toujours craindre que le journaliste auteur de l'article se soit planté, mais ma recherche documentaire pour réaliser le scénario (et les dialogues) n'est pas allée jusqu'à vérifier ce genre de mots. En journalisme, il y a deux écoles :
- soit vérifier systématiquement toute information ; et alors là, dans certains cas, on y passe des années, d'autant que dans ce qui nous préoccupe, ce mot ne concerne qu'un élément d'une histoire assez dense, et d'autant (bis) que mon travail n'est pas un reportage ou un documentaire, mais une simple BD de fiction ;
- soit on fait confiance aux confrères journalistes qui eux-mêmes ne sont pas censés raconter des salades mais sont censés avoir correctement enquêté.
Cela dit, tu précises toi-même qu'il te semble que c'est une "petite erreur", et si c'est la seule...