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26. Prisonniers des Serbes (2002)

Octobre 2002
Dessins : Yvan Fernandez
Textes et scénario : Jean-Claude Laidin

Tanguy et Laverdure sont à nouveau dans l’armée de l’air. Ils se trouvent maintenant, non plus à Dijon mais sur la base aérienne de Nancy-Hochey. Ils partent pour les Balkans ( Bosnie-Herzégovine, Serbie, Kosovo, Croatie, Monténégro, Macédoine, Slovénie : les pays formant l’ancienne Yougoslavie), où la guerre a éclaté depuis quelques années.
Un jour, l’avion de Laverdure est abattu et celui-ci est capturé par les Serbes. Tanguy, en opération commando, réussira à le délivrer.

Tanguy et Laverdure sont à nouveau dans l’armée de l’air. Ils se trouvent maintenant, non plus à Dijon mais sur la base aérienne de Nancy-Hochey.
Ils partent en Italie, rejoindre les forces de l’ONU dans le but de lutter contre les Serbes qui massacrent les populations de Bosnie.

Sur place les missions se déroulent jusqu’au jour où Michel et Ernest doivent chercher un hélicoptère tombé en mer. Michel perçoit un écho inconnu. « L’Awacs » de surveillance pense à des problèmes parasite. A la recherche de cet écho, Michel tombe par hasard juste devant un hélicoptère géant de type « Mil Mi-26 Halo » russe.

Cet hélicoptère est responsable de la destruction de l’hélicoptère du Porte-avion ainsi que de la destruction d’un navire. Navire que les occidentaux recherchaient, le soupçonnant de ravitailler clandestinement les Serbes malgré l’embargo.

Il faut le retrouver. Mais comment explorer les montagnes et collines rocheuses avec les Bosno-Serbes qui sont armés de missiles infrarouges très mobiles, portés à dos d’homme ?
Un jour, Laverdure en biplace avec P’tit Louis, repère l’hélicoptère puis sa base. Mais leur avion se fait abattre par un missile sol-air. Ernest a juste le temps de prévenir Michel, en patrouille plus loin, qu’ils sont vivants. Mais ils sont fait prisonniers.

Interrogés à Palé, (ville-fief des Serbes de Bosnie), ils refusent de parler sous la torture.
Michel essaie de repérer la vallée que survolait Ernest. Il souhaite aller sur place avec un ancien parachutiste d’essais que lui prête le patron des forces spéciales.
Oui mais le Général refuse... jusqu’à un appel des renseignements généraux qui lui annonce le décès de Laverdure et de P’tit Louis lors d’une tentative d’évasion.

Michel, blessé dans son cœur, se jure de faire payer « ces minus nazis « purificateurs de merde » » (citations de la BD). Il part avec Claude l’ancien parachutiste. Ils sont emmenés dans un avion de type « Twin-Otter » d’où ils sauteront plus tard, de nuit.
Une fois au sol, c’est l’attente jusqu’à la nuit suivante où ils surprennent un « Antonov An-2 » passer au-dessus d’eux. Le suivant à la jumelle, ils le voient... rentrer dans une grotte dont une partie verticale s’ouvre et se ferme.

Ils décident d’aller sur place.
Tanguy passe par une grande grille d’aération et découvre un énorme complexe militaire. Il assiste au décollage incroyable sur cette courte distance, d’un « Flanker ». Puis, continuant à observer la base souterraine à la jumelle, ils découvrent … Ernest et P’tit Louis, emmenés au Général serbe.

Il observe l’atterrissage d’un « Sukhoï » sur une piste qui est ensuite recouverte, de manière automatisée, de verdure. Michel se demande comment libérer ses deux copains.
C’est alors qu’arrivent de la bouche d’aération, Claude accompagné de Commandos de Recherche et d’Action dans la Profondeur. Ceux-ci sont arrivés en suivant jour après jour « l’Antonov ».

Ils interviennent avec Michel et Claude, la nuit suivante, lorsque les avions commencent à faire tourner leur moteur. Certains libèrent les deux prisonniers et tous s’enfuient dans « L’Antonov An-2 » que Michel a préparé.
A peine ont-ils décollé que la grotte explose suite aux bombes à retardement placées par deux commandos.

Escortés plus loin par des copains, qui se sont tout de même méfiés d’un « Antonov », les commandos, Claude, Tanguy, Laverdure et P’tit Louis atterrissent sur le porte-avion : une première pour celui-ci... avoir accueilli sur sa piste un « Antonov » !

Francis AIR